Préparation d'une cavité carieuse de classe 01

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 traitement des caries siégeant dans les dépressions anatomiques des dents :
x les sillons occlusaux des prémolaires et molaires
x les fossettes vestibulaires et palatines des molaires
x dans les puits cingulaires des incisives et des canines


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TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L’INCONTINENCE SALIVAIRE DES ENFANTS INFIRMES MOTEURS D’ORIGINE CEREBRALE

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 Présentation

L'incontinence salivaire est fréquente chez les enfants handicapés, la gamme de 15 à 30% selon les auteurs. Ce n'est pas un trouble de baver, mais dont l'origine est multifactorielle:


  • incoordination
  • oraux des troubles moteurs pharyngée
  • l'absence de joint à lèvre
  • la posture de la tête en flexion
  • Cette incoordination perturbe l'embouchure de la première fois à avaler réflexe pharyngé postérieur est habituellement conservée.
  • L'impact de bavage est important. Vêtements en l'absence de changements fréquents rapidement émergé une odeur nauséabonde. Les problèmes d'élocution sont aggravés. Dispositifs de soutien ergonomique pour la communication, l'électronique sont souvent endommagées par la salive. La distance maintenue par les proches et la rareté des gestes d'affection augmente le sens de l'anormalité de ces enfants et peut provoquer un syndrome dépressif.


La première branche, après la salive a été décrit par Wilkie en 1967. Le but de cette étude rétrospective était d'évaluer les résultats à long terme d'une série consécutive de 39 patients opérés en utilisant une technique de maintenir le principe de dérivation, mais avec quelques modifications visant à réduire les complications tout en simplifiant sa mise en œuvre.

Méthode

Etude rétrospective de 1979 à 1998. Les dossiers ont été examinés et les enfants reconvoqué ou contactés par courrier et téléphone. Tous les enfants ont subi un canal de dérivation, après Steno et une résection segmentaire des canaux de Wharton dans une ou plusieurs fois. Les résultats ont été considérés comme bons, si il y avait une perte de bavage ou diminuer sans la nécessité pour les plaquettes, plaquettes de support, si nécessaire, en cas de changement de bavage mauvais. Les complications ont été notées.

Résultats

39 cas (27 garçons et 12 filles) ont été opérés. Le bavage était permanente pour ces enfants et les échanges 1-3 par jour ont été nécessaires pour 17 d'entre eux. Dans 25 cas, le bavage a été augmenté de toute activité. La demande de correction à l'enfant dans 20 cas. Réhabilitation a été tentée dans 17 enfants avec deux temporaires succès. Aucun traitement médicamenteux ont été utilisés. L'intervention a eu lieu dans la moyenne d'âge de 13,5 ans (6 / 19). Tous ont reçu une dérivation de la résection Steno et Wharton d'un temps (n = 26), en deux étapes (n = 3) fois ou trois (n = 1) pour les plus anciens. Les résultats fonctionnels a trouvé plus de six mois après la chirurgie a montré 34 résultats positifs, les scores moyens 4 et 1 mauvais résultat. Ces résultats ont été stables dans le temps. Dans 20 cas, le bavage pourrait se reproduire lors d'une concentration d'activité nécessitant de l'enfant. Les complications les plus fréquentes sont liées au changement de la salive épaisse et mousseuse. Quinze enfants ont décrit un aliment plus collant sans changement dans leurs habitudes. Un enfant souffrant de xérostomie grave. Six enfants ont été réopérés pour une sténose de Steno (n = 3), le chemin du néo fistules (n = 1), une résection supplémentaire de Wharton (n = 2).

Résultats

  • Bavage cas de 25,6% (10/39)
  • Diminution bavage

  • fuites persistantes nécessitant aucune variation en% 61,5 (24/39)
  • Diminution bavage

  • fuites persistantes nécessitant de change de 7,6% (3 / 39)
  • Pas de changement ou d'aggravation de 5,1% (2 / 39)
  • Les complications postopératoires
  • Steno pseudokyste de 3 cas
  • Pseudokyste sous lingue deux cas
  • Fistule de Steno 2 cas
  • Six fois pour la fermeture chirurgicale de la fistule (1cas), marsupialisation de kystes de faux (4 cas), résection d'un processus itératif de canal de Wharton dans un cas.
  • Effets secondaires
  • Modification de la salive 19
  • La nourriture colle aux 17 dents
  • Sensation de sécheresse de la bouche 13
  • 11 Détérioration dentaire
  • Sensation de bouche sèche 11
  • La puissance a dû être modifiée 5
  • Besoin de boire plus souvent 5
  • Un patient a une sécheresse sévère orale confirmée par scintigraphie.

Conclusion

L'incontinence salivaire est commun dans la maison de paralysie cérébrale. Son origine est multi factorielle. Il peut être considérablement réduite si elle n'est pas complètement corrigées par la chirurgie. Les résultats sont stables. Les complications sont rares et les effets secondaires sont dominés par une sécheresse modérée par voie orale. Elle justifie que les mesures d'hygiène buccale doit être renforcée afin d'atténuer ses conséquences. Ce traitement est conçu pour les enfants et motivés autour d'eux, dès l'âge de 10 ans. Les résultats seront meilleurs chez les enfants avec un QI peu élevé altérée. La décision doit être multidisciplinaire.
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CHIRURGIE DENTAIRE CHEZ LE HANDICAPE PROBLEMES POSES A L'ANESTHESISTE

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 CHIRURGIE DENTAIRE: SOINS ET EXTRACTION

C'est une chirurgie intra nécessitant une protection des voies respiratoires, plus ou moins douloureuses et de durée variable, selon qu'ils soins ou extractions (30-45 minutes à plusieurs heures), la septicémie risque nécessitant une antibioprophylaxie de l'endocardite chez certains patients à faible risque de la saignée, sauf prédisposant état, nécessitant une bonne ouverture de la bouche (anesthésie plus ou moins, des relaxants musculaires). Il est généralement prévu une intervention chirurgicale et parfois des conditions de route lorsque les critères ambulatoire "médico-social» permet, tout en imposant une organisation appropriée.

ANESTHESIE

Afin de faciliter la procédure chirurgicale, il faut provoquer le sommeil, l'analgésie et la relaxation des muscles en utilisant des agents hypnotiques, des opiacés et de curares. Ces agents peuvent être administrés par voie intraveineuse ou par inhalation. Ils sont responsables d'effets secondaires courants de la dépression cardiovasculaire et respiratoire, nécessitant le développement de divers moyens de surveillance (ECG, TA, SpO2, ...) et de substitution (intubation et ventilation contrôlée). Cette surveillance se poursuivra dans la salle de réveil jusqu'à disparition des effets des agents anesthésiques, avant de revenir au service de soins.

Les vraies complications peuvent survenir: cardiovasculaire, respiratoire, allergique, d'autres .... Ils sont favorisés par l'existence de pathologies associées que la consultation d'anesthésie cherche à identifier.

LE PATIENT HANDICAPES

Il est parfois atteint de pathologies particulières (myopathies, maladies cardiaques, naissance ...) peut poser des problèmes spécifiques de gestion. Dans la plupart des cas, ce sont les conséquences des troubles du cerveau de l'enfance plus ou moins identifiés (souffrance néonatale encéphalopathies infectieuses .....)

Handicap associé, à des degrés divers, une déficience motrice avec de possibles déformations articulaires, une scoliose ou une insuffisance respiratoire, retard mental avec des troubles du comportement plus ou moins marquée, de l'épilepsie.


L'ANESTHESIE DU HANDICAPE POUR CHIRURGIE DENTAIRE LA CONSULTATION


L'examen des dossiers a déclaré l'intervention prévue, le modèle de l'anesthésie générale, les antécédents médicaux, chirurgicaux, anesthésiques et les allergies connues, les traitements. L'entretien et un examen physique complètent l'information à la recherche des signes essentiellement fonctionnelle et physique de maladie cardiaque ou pulmonaire, les difficultés éventuelles de ponction veineuse ou une intubation. La consultation peut évaluer le niveau de coopération et de l'anxiété du patient.

Les examens complémentaires ou des consultations spécialisées peuvent être demandés selon les données de la consultation ou en cas de difficultés, parfois d'interrogatoire et d'examen, mais il peut alors affronter les mêmes lacunes de la coopération. Persiste à partir d'un inconnu dans la procédure d'évaluation des risques. Le risque anesthésique peuvent être codées selon la classification ASA 1 à 5 selon la gravité de la déficience fonctionnelle. La morbidité et la mortalité anesthésique est corrélée avec l'ASA, mais le risque zéro n'existe pas: «il n'ya pas d'anesthésie légère."

Il faut donc informer le pateint et son entourage, parfois obtenir un permis d'exploitation (ou de patients mineurs sous surveillance), d'assurer le jeûne préopératoire, l'arrêt ou la poursuite de certaines thérapeutiques, d'organiser les conditions d'hospitalisation, à condition prémédication.

ANESTHESIE

Le cours habituel: l'installation de surveillance, de perfusion, suivie par l'induction de l'anesthésie ne s'applique pas toujours aux personnes handicapées. Il est parfois nécessaire de faire une induction au masque dans des conditions imparfaites, en introduisant des facteurs de risque supplémentaires. Chez ces patients agités ou non coopératifs, les mêmes difficultés seront rencontrées dans la salle de réveil et de la chambre d'hôpital, les soins des complices de ces patients.

CONCLUSION

L'anesthésie pour la chirurgie dentaire dans les handicapés n'est pas sans risque.

L'éviter est souhaitable que les moyens de prévention peuvent être utilisés (?) Ou si les conditions (pré-médication?) Sont fournis aux dentistes pour leur permettre d'effectuer leurs soins sous anesthésie locale.

Lorsque l'anesthésie générale est nécessaire, en utilisant les centres d'hébergement de ces patients, nous devons fournir les dossiers médicaux aussi détaillé que possible et d'informer le patient des risques autour.
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THÉORIES DES ACTIVATEURS

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I. Introduction
-Pierre Robin (1902): la première: l'utilisation de la physiologie pour la correction des dysmorphoses mandibulaires;
- Thérapeutique orthopédique fonctionnelle: l'activation ou la modification de la fonction orale en modifiant l'équilibre, le jeu des muscles de l'oro-faciales;
- Il provoque des changements dans dento-maxillo-faciale;
- Il normalise anormale ou une réforme en éliminant les influences en cause;
- Il existe 3 courants :
1) Orthopédie fonctionnelle pure :
a. ROBIN – ANDRESEN – BALTERS ;
b. Utilisent des monoblocs ou activateurs ;
c. Pas d'action mécanique mais juste la stimulation musculaire en modifiant la direction des forces pour entraîner des modifications des bases ;
d. Ils pensent que les activateurs élastiques n'entraînent que des remaniements alvéolo-dentaires.

2) Orthopédie dynamo-fonctionnelle :
a. BIMLER – STOCKFISH – MUJZ ;
b. Utilisent des activateurs élastiques qui laissent libre les mouvements mandibulaires.

3) Orthopédie mécano-fonctionnelle :
a. Utilisent des appareils uni-maxillaires qui exercent une action fonctionnelle et un effet mécanique.
- C'est une thérapie prophylactique et interceptive dans de nombreux cas.

II. Bases théoriques des traitements fonctionnelsII.1 Généralités
- PLANAS :
- la thérapeutique fonctionnelle n'entraîne pas de déplacement alvéolo-dentaire mais alvéolo-dento-maxillaire pour que les dents puissent se développer harmonieusement et faire librement leur éruption jusqu'à leur position physiologique ;
- le développement des bases tient compte de l'équilibre musculaire et de la direction de travail des muscles de mastication, déglutition, phonation, mimique, …
- On doit distinguer :
- Le stimulus générique : il entraîne la transformation et le renouvellement du tissus osseux normal ou anormal ;
- Le stimulus conditionné : il provoque des transformations osseuses par la thérapeutique fonctionnelle.
- MUZJ : pour obtenir, en cas de dysmorphie, une fonction normale, cette fonction doit acquérir des qualités propres qui la libèrent de sa détermination 1ère et la fassent agir comme si elle était normale ;
- Les variations de forces sont de 2 types :
- Traction ;
- Pression.

II.1.1 Mode d'action
1) Action mécanique directe :
a. Par l'utilisation de vérins, de bandeaux vestibulaires, de retouches.
2) Action mécanique indirecte :
a. Par le détournement des forces au repos ou en activité et en 3D.
3) Action fonctionnelle vraie :
a. Par la modification ou par l'interdiction des comportements ;
b. Par l'introduction de nouveaux comportements.

II.1.2 Energies utilisées
- MUZJ a décrit 3 types d'énergie :

1) L'énergie vitale ou tendance évolutive de la nature :
a. Elle régule les phénomènes biologiques vers une normalité ;
b. Ex : extraction d'une dent lactéale => diminution de l'espace d'extraction => impossibilité d'évolution de la permanente sous-jacente. Si on libère la place => la dent bloquée récupère sa place grâce à l'énergie vitale.

2) L'énergie musculaire :
a. Développé au moyen de contractions réflexes ou volontaires. Cette modification de l'équilibre musculaire => modification de structures => modification de fonction => ferme le cercle vicieux ;
b. Les forces musculaires sont utilisées :
i. Directement : traction musculaire pour l'égression ou l'ingression ;
ii. Indirectement : plan incliné rétro-incisif.
c. 2 moyens pour dévier la direction de traction :
i. surélévation de l'occlusion et proglissement mandibulaire pour obtenir une contraction musculaire ;
ii. contraction réflexe au moyen de plaques instables, libres dans la cavité buccale.

3) Le lien plastique :
a. Faculté du squelette et des ligaments de transmettre les forces de tractions ou de pression à distance des points d'application ;
b. ó au niveau des zones de croissance.

II.2 Effets des activateurs sur le complexe crânio-facial
II.2.1 Sur le système nerveux
- Ils engendrent des stimuli variables en intensité, en durée et en étendu d'action pour un réapprentissage du système nerveux.

II.2.2 Sur les muscles et cartilages
- L'expérimentation sur la souris (PETROVIC) et le singe (MacNAMARA) => :
- Chef supérieur du ptérygoïdien latéral a un rôle actif dans la détermination de la position sagittal de la mandibule (muscle protracteur) ;
- C'est le chaînon commun de facteurs s'exerçant sur la croissance condylienne dont la STH et la thyroxine ;
- L'hyperpropulsion expérimentale stimule la croissance des cartilages angulaire et coronoïdien par la contraction des faisceaux antérieurs des masséters et du ptérygoïdien médial ;
- Le port nocturne de l'activateur peut entraîner une multiplication cellulaire maximale car la sécrétion de STH est maximale aux 1ère heures du sommeil.

II.2.3 Modifications osseuses
- Au maxillaire :
- HARVOLD : activateurs permettraient la réduction de la croissance vers l'avant du maxillaire supérieur ;
- A la mandibule :
- dépend du stade de maturation du sujet ;
- Si jeune => variation de quantité, de qualité de la croissance condylienne ó remaniement basal ;
- Si vieux => variations alvéolo-dentaires.

III. Inventaire des moyens thérapeutiquesIII.1 Les monoblocs
III.1.1 Rigides
1) Le monobloc de ROBIN (1905) ;
2) L'activateur d'ANDRESEN (1925) = Robin + Coffin ;
- Les 2 ont un bandeau vestibulaire pour la rétraction incisivo-canine.
3) Le Bionator de BALTERS (50's) = + light qu'Andresen ;
4) Les régulateurs de fonction de FRANCKEL.

III.1.2 Les élastiques
1) Le Gebissformer de BIMLER : plutôt à visée orthodontique ;
2) Le Kinetor de STOCKFISH : action mixte orthopédique et orthodontique.

III.2 Les monoplaques
1) Plaque à plan rétro-incisif de HAWLEY ;
2) Plaque à traction inter-maxillaire.

III.3 Les biplaques
1) Le propulseur de PLANAS ;
2) Le 4 pièces de CHATEAU (je pense).

IV. Conclusion
 -Tous ces dispositifs ont le même objectif: restaurer un jeu équilibré du système stomatognathique;
- Stabilité des résultats orthopédiques nécessite à long terme la stabilité et l'harmonie des structures faciales à de nouvelles fonctions si: récurrence.
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