Le traitement de l' orthodontie

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L'Orthopédie Dento Faciale (ODF) a pour but la prévention, le dépistage, le diagnostic et le traitement des malformations et malposition de la face, des maxillaires, des arcades dentaires et des dents. Elle est pratiquée par les spécialistes en orthopédie dento-faciale, mais également par les Chirurgiens-dentistes omnipraticiens.





Le traitement 


Pour mener à bien son traitement, l’orthodontiste pourra demander la collaboration d’autres professionnels de santé : pédiatres, médecins spécialistes ORL, Chirurgiens maxillo-faciaux, chirurgiens-dentistes, médecins stomatologistes, orthophonistes, kinésithérapeutes…
Les appareils les plus utilisés sont :
  • Les appareils amovibles, que le patient peut retirer. Les appareils ont divers ressorts et vérins, positionneurs.
  • Les appareils fixes que le patient ne peut pas retirer. Les appareils métalliques, esthétiques en céramiques (moins visibles) les appareils utilisés en technique linguale (totalement invisibles). Ils sont constitués de boîtiers ou verrous collés ou scellés sur les dents, reliés par des fils métalliques dont l’alliage, la section, la forme sont déterminés par les différentes étapes du traitement.
  • Les appareils auxiliaires s’utilisent avec les appareils fixes ou amovibles : élastiques, ancrage extra oral arc facial ou bande de tissu péricranien.
  • Les traitements complémentaires: extractions dentaires, chirurgie buccale ou maxillo-faciale, traitements médicaux, adéoïdectomie ou amygdalectomie (Ablation des végétations ou des amygdales), mini vis, orthophonie, …
Les techniques collées
Il existe diverses possibilités de technique collée, externe , interne
<  brackets métalliques

 ils peuvent être remplacés dans un souci d'esthétique par des éléments transparents ou de la couleur des dents.

verrous céramiques  >

Les techniques linguales offrent la possibilité d’un appareil orthodontique efficace et totalement invisible.

  La contention
 Cette période correspond à la conservation du résultat obtenu, l'orthodontiste demande au patient de porter un appareil de nuit ou colle un fin fil sur l'arrière des dents pendant une durée plus ou moins longue en fonction de la tendance à la récidive (tendance au retour à l’état antérieur) qui est très variable selon les personnes et les malformations.
Cette phase est trop souvent négligée par les patients qui est pourtant essentielle pour la pérennité du résultat. Le vieillissement de la denture s’accompagnant quelquefois de modifications de la position des dents, le patient doit rester vigilant et ne pas omettre les visites annuelles de contrôle chez son praticien traitant.

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Le principe de l' orthodontie

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L'Orthopédie Dento Faciale (ODF) a pour but la prévention, le dépistage, le diagnostic et le traitement des malformations et malposition de la face, des maxillaires, des arcades dentaires et des dents. Elle est pratiquée par les spécialistes en orthopédie dento-faciale, mais également par les Chirurgiens-dentistes omnipraticiens.





Le traitement 

Pour mener à bien son traitement, l’orthodontiste pourra demander la collaboration d’autres professionnels de santé : pédiatres, médecins spécialistes ORL, Chirurgiens maxillo-faciaux, chirurgiens-dentistes, médecins stomatologistes, orthophonistes, kinésithérapeutes…
Les appareils les plus utilisés sont :
  • Les appareils amovibles, que le patient peut retirer. Les appareils ont divers ressorts et vérins, positionneurs.
  • Les appareils fixes que le patient ne peut pas retirer. Les appareils métalliques, esthétiques en céramiques (moins visibles) les appareils utilisés en technique linguale (totalement invisibles). Ils sont constitués de boîtiers ou verrous collés ou scellés sur les dents, reliés par des fils métalliques dont l’alliage, la section, la forme sont déterminés par les différentes étapes du traitement.
  • Les appareils auxiliaires s’utilisent avec les appareils fixes ou amovibles : élastiques, ancrage extra oral arc facial ou bande de tissu péricranien.
  • Les traitements complémentaires: extractions dentaires, chirurgie buccale ou maxillo-faciale, traitements médicaux, adéoïdectomie ou amygdalectomie (Ablation des végétations ou des amygdales), mini vis, orthophonie, …
Les techniques collées
Il existe diverses possibilités de technique collée, externe , interne
<  brackets métalliques

 ils peuvent être remplacés dans un souci d'esthétique par des éléments transparents ou de la couleur des dents.

verrous céramiques  >

Les techniques linguales offrent la possibilité d’un appareil orthodontique efficace et totalement invisible.

  La contention
 Cette période correspond à la conservation du résultat obtenu, l'orthodontiste demande au patient de porter un appareil de nuit ou colle un fin fil sur l'arrière des dents pendant une durée plus ou moins longue en fonction de la tendance à la récidive (tendance au retour à l’état antérieur) qui est très variable selon les personnes et les malformations.
Cette phase est trop souvent négligée par les patients qui est pourtant essentielle pour la pérennité du résultat. Le vieillissement de la denture s’accompagnant quelquefois de modifications de la position des dents, le patient doit rester vigilant et ne pas omettre les visites annuelles de contrôle chez son praticien traitant.

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Bilan photographique en orthodontie

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Introduction :
Les progrès techniques et la vulgarisation des appareils photographiques numériques permettent d’exploiter de nouvelles possibilités iconographiques pour l’orthodontie.
Véritable base de données associant image et texte, la photographie numérique constitue un remarquable outil, tant pour le diagnostic que pour l’évaluation des traitements.


 À l’heure où transparence et information sont de plus en plus demandées, un bilan photographique représente un puissant vecteur de communication entre le patient et son praticien.

Et si nécessaire, il constitue une pièce médicolégale d’une valeur indiscutable pour l’élaboration d’un rapport d’expertise.
Enfin, dans le cadre des traitements pluridisciplinaires, ce bilan peut constituer l’argument commun pour permettre de regrouper des compétences aussi diverses que celles d’un chirurgien dentiste, d’un orthophoniste, d’un pédiatre, d’un chirurgien maxillofacial, d’un otorhinolaryngologiste (ORL), pour ne citer que les spécialités les plus couramment concernées.

Historique :
Dès la deuxième moitié du siècle précédent, Izard en France, dans son ouvrage de référence, insiste sur la grande valeur de l’examen facial et sur la rigueur à apporter à la réalisation de photographies : face et profil au repos sur fond noir orientés sur le plan de Francfort.
À l’âge d’or des mesures anthropométriques, Korkhaus et De Nevrezé proposent même des « photostats » pour immobiliser et orienter parfaitement le visage afin de permettre reproductibilité et mesure de divers indices.
Ces systèmes très contraignants nous paraissent aujourd’hui d’une lointaine époque, mais il faut en retenir toute l’attention portée à l’examen clinique de l’entité céphalique, elle-même partie intégrante de l’examen pédiatrique. Rappelons pour mémoire les écoles, en France, de Sigaud et Robin avec les types musculaire, respiratoire, digestif, et cérébral, De Nevrezé avec les types carbocalcique, phosphocalcique et fluocalcique ; en Angleterre, Sheldon avec les types endomorphe, mésomorphe et ectomorphe ; en Italie, Mujz avec ses mesures angulaires et aux États-Unis, Tweed avec le triangle de repositionnement de l’incisive inférieure, puis Ricketts avec le dolichofacial, le mésofacial et le brachyfacial.
Le développement des techniques numériques a totalement modifié l’approche documentaliste de la photographie qui s’inscrit maintenant dans une chaîne de technologies déjà largement maîtrisées dans des lignes de métiers très éloignés de la médecine comme l’industrie, la presse, les agences photos.

Choix de l’équipement photographique en orthodontie :
A - ÉQUIPEMENT PROFESSIONNEL IDÉAL :
1- Éclairage :
Pour le portrait, un flash compact de studio de faible puissance, 500 à 1000 joules maximum, avec une petite boîte à lumière de 60 cm de diamètre située à 1,50 m d’un fond gris neutre, pour un éclairage homogène et sans ombre en travaillant avec des diaphragmes entre 16 et 32.
Pour les vues intraorales, un flash annulaire en sachant que les automatismes evaluative trough-the-lens (TTL) ne sont pas encore adaptés pour les boîtiers numériques.
2- Boîtier et objectif :
Un reflex 24/36 ou équivalent numérique avec un objectif macro de 85 ou 105 mm, idéal pour le portrait car sans déformation de perspective et permettant de travailler sans trépied, à des distances compatibles avec la puissance des flashes disponibles, de l’ordre de 1 à 1,50 m pour les vues faciales et de 20 à 40 cm pour les vues intraorales.
3- Matériel informatique :
Une station de travail dont la puissance dépend du nombre de photographies, une liaison firewire permettant de transférer rapidement les images acquises par le boîtier, qui pèsent plusieurs megaoctets ; un logiciel d’archivage où sont enregistrés les champs international press telecommunications council (IPTC) ; ces logiciels utilisés par la presse ou les agences photos autorisent des classements de 20 000, 50 000 et plusieurs millions de photographies avec des temps de recherche très rapides ; un système de sauvegarde sur bande numérique pour grandes capacités ; une liaison internet haut débit pour transmettre les images ; une imprimante à sublimation thermique pour un tirage papier de qualité photographique : 18 Mo pour une page A4 en 300 dpi.
Il est bien évident que cette configuration idéale dépasse le budget de la plupart des praticiens, d’autant que la nomenclature de la sécurité sociale ne prévoit aucun acte correspondant à la prise des photographies.
B - ÉQUIPEMENT STANDARD GRAND PUBLIC :
La vulgarisation des appareils photographiques numériques à usage familial ou amateur permet de trouver des solutions très honorables pour un coût raisonnable.
Toutes ces solutions ont des défauts, mais il suffit de bien les comprendre pour en atténuer les effets avec de petits moyens.
1- À propos de l’éclairage :
Les boîtiers numériques possèdent en général un petit flash intégré adapté à une utilisation portrait.
L’inconvénient pour notre examen médical est de faire apparaître des ombres portées en arrière-plan qui vont se superposer aux contours cutanés.
Pour estomper cet effet, il faut éloigner beaucoup plus le patient du fond gris.
Pour les vues intraorales, le flash intégré est toujours trop puissant et trop directionnel.
Il engendre en bouche une image avec une partie totalement dans l’ombre et l’autre très surexposée.
Pour y remédier, ajouter un sparadrap épais sur le flash pour en réduire la puissance et augmenter la diffusion de la lumière.
Mais souvent, il est éloigné et asymétrique par rapport à l’objectif et donc certaines vues ont toujours de petites zones d’ombre.
2- À propos du boîtier et de l’objectif :
Les capteurs sont de plus petites tailles mais l’objectif est associé à une focale plus courte et un diaphragme ouvert, ce qui permet d’éviter les difficultés d’une mise aupoint précise et la nécessité d’un éclairage puissant.
L’ensemble est en général cohérent et permet d’obtenir des portraits honorables en utilisant la position téléobjectif puis la position macro pour les vues intraorales.
Sur un écran d’ordinateur, l’image est suffisante pour travailler.
Pour l’impression papier, il en est de même avec une simple imprimante de bureau, à condition que chaque image ne dépasse pas 2 à 3 cm de côté.
C’est une des raisons techniques pour lesquelles nous proposons un bilan en 12 vues sur une page A4.
Il est en effet beaucoup plus utile pour notre métier d’avoir 12 petites vues plutôt qu’une ou deux grandes vues, qui, pour avoir une bonne qualité, imposeraient un équipement photographique professionnel pratiquement dix fois plus coûteux.
3- À propos du matériel informatique :
Fort heureusement, un logiciel d’acquisition et d’archivage est en général offert avec l’achat de l’appareil photographique.
L’ensemble reste bien adapté à des images compressées en de petits fichiers et sans temps de réponse excessif pour des catalogues limités à … quelques milliers d’images.
Définition du bilan photographique standardisé en orthodontie :
Une page format A4 doit permettre de visualiser l’ensemble de l’examen facial et intraoral.
L’en-tête de page permet de résumer les coordonnées et qualification du praticien, ainsi que le titre de la planche : bilan initial, bilan en cours de traitement, bilan après traitement...
Le corps de la page est formé d’un tableau en six lignes et trois colonnes avec six vues faciales et six vues intraorales.
Sous chaque vue, en légende, l’état civil du patient et la date de la photographie.
Ces renseignements sont facilement éditables car ils ont déjà été enregistrés dans les champs IPTC lors de l’archivage.
Ceci permet, sur le plan médicolégal, de vérifier que les vues présentées sont bien celles du patient concerné et aux bonnes dates.

Prise de vue :
A - VUES FACIALES :
1- Critères :
La première ligne définit l’ensemble céphalique au repos : crâne face et cou, en trois vues : profil droit, face, profil gauche.
Le patient doit regarder à l’infini sans mouvement de bascule ou de rotation parasite.
Le plan orbitoméatal doit correspondre sensiblement à l’horizontale du milieu de l’image.
Il faut dégager front, oreilles, et cou de la coiffure, des bijoux ou des vêtements afin d’apprécier toute l’anatomie céphalique et permettre d’évaluer sa bonne orientation dans l’espace et donc la reproductibilité de l’examen.
La deuxième ligne évalue les modifications plastiques du visage « en fonction» en trois vues, trois quarts droit, face et trois quarts gauche en sourire forcé avec la traction maximale des commissures lors de la prononciation prolongée de la lettre « i », le système dentaire étant en occlusion habituelle, afin de pouvoir garantir objectivité et reproductibilité.
2- Procédure de prise de vue :
Le patient est placé à au moins 10 ou 15 cm du fond gris afin d’estomper l’ombre portée du flash.
Ceci permet d’obtenir un fond gris neutre uniforme pour bien détacher les tissus cutanés sans double contour.
Le patient est debout (l’enfant éventuellement sur un marchepied) pour pouvoir facilement pivoter suivant les indications du praticien.
Il est expliqué plus loin l’avantage pour le praticien à être lui aussi debout, afin de pouvoir effectuer rapidement et confortablement cadrage et mise au point, sans avoir le dos voûté.
Le praticien doit commencer par le profil droit au repos, afin d’optimiser un plein cadrage et une mise au point facile et rapide.
La première étape commence par cadrer l’image pour placer le plan horizontal orbitoméatal au milieu du viseur de l’appareil.
Une fois définie l’horizontale du milieu de l’image, le praticien doit avancer ou reculer légèrement pour ajuster le cadrage en largeur afin d’inclure l’ensemble céphalique.
Un effet sensiblement équivalent peut être réalisé en zoomant plus ou moins, si l’appareil en a les possibilités.
La troisième étape doit permettre d’obtenir la mise au point finale.
Elle est parfois manuelle mais le plus souvent, elle est automatisée par différents systèmes d’autofocus.
Mais pour bénéficier pleinement des automatismes de mise au point, il faut bien choisir la zone de mesure de l’autofocus.
Le centre du viseur correspond en général à la région malaire.
Par chance, pour l’orthodontiste qui n’est pas photographe de formation, à partir du diaphragme 16 ou 22, la mise au point finale (manuelle ou automatisée par autofocus) peut être faite tout simplement sur la région centrale du cadrage final.
Ceci correspond en général à la région malaire.
Il est en pratique totalement inutile d’aller mémoriser une mise au point plus savante sur les paupières ou les yeux, au risque de perdre en précision au niveau du cadrage final.
Pour résumer, avec les automatismes modernes, et sans formation de photographe, il suffit à tout praticien de bien cadrer pour avoir une image globalement nette.
Après le profil, il est demandé au patient de pivoter d’un quart de tour, pour obtenir le trois-quarts sourire droit.
En général, le cadrage et la mise au point n’ont pratiquement pas besoin d’être modifiés.
Le patient pivote à nouveau d’un quart de tour pour être de face au repos puis en sourire forcé. Heureusement encore pour le praticien néophyte en photographie, il n’est pratiquement pas besoin de changer les réglages de cadrage ni de mise au point.
Enfin, le patient pivote à nouveau d’un quart de tour pour pouvoir réaliser de la même façon, sans autre modification des réglages, le sourire troisquarts gauche puis le profil gauche au repos.
Ainsi sont réalisées très simplement six photographies « plein cadre céphalique », avec le même rapport d’agrandissement et la même orientation.
B - VUES INTRAORALES :
1- Critères :
Les six vues intraorales doivent permettre d’objectiver toute l’occlusion et l’ensemble de l’anatomie intraorale.
La première ligne définit l’occlusion par un trois-quarts droit, une face complète, un trois-quarts gauche en correspondance directe avec la ligne supérieure des vues faciales trois-quarts sourire droit, face sourire, trois-quarts sourire gauche.
La deuxième ligne complète l’étude anatomique avec une vue de l’arcade maxillaire, une vue rapprochée de face de canine à canine, une vue de l’arcade mandibulaire.
2- Procédure de prise de vue :
Les vues intraorales se rapprochent du rapport d’agrandissement 1/1 et donc des exigences spécifiques de la macrophotographie.
L’objet à photographier doit donc être immobile et globalement bien éclairé pour faciliter cadrage, mise au point manuelle, ou fonctionnement des autofocus qui sont mis à contribution aux limites de leurs possibilités techniques.
Le praticien doit être suffisamment confortable et stable pour pouvoir effectuer de petits mouvements précis de cadrage et de facilitation des automatismes de mise au point.
Le fauteuil dentaire ne paraît pas le plus adapté à une position confortable de prise de vue pour le praticien.
Il est donc proposé de placer le patient dans n’importe quelle pièce bien éclairée, sur un simple tabouret de bar, la tête contre un mur, pour que l’étage dentaire du visage soit à hauteur d’homme du praticien debout en face, qui lui se déplace pour obtenir les différentes vues occlusales.
Commencer par la vue de face arcade complète, en positionnant le plan d’occlusion dans l’horizontale du milieu du viseur.
Ajuster le plan du boîtier pour être le plus perpendiculaire au plan d’occlusion afin d’éviter des effets de plongée ou de contre-plongée qui pourraient par exemple minorer ou majorer l’aspect visuel d’une supraclusion ou d’un surplomb.
Puis comme pour la vue faciale, avancer ou reculer légèrement pour ajuster le cadrage en largeur afin d’englober toute l’arcade sans pour autant déborder sur les tissus cutanés faciaux.
En se rapprochant, une vue faciale de canine à canine, même si elle n’est pas indispensable, permet d’objectiver les détails les plus visibles.
Si la possibilité existe, il faut réduire d’un diaphragme la puissance du flash et garder ce réglage pour les vues latérales gauche et droite.
Enfin, pour les vues occlusales dans le miroir, il faut se contenter des automatismes du boîtier ou si possible augmenter d’un diaphragme la puissance du flash.
Des photographes professionnels ont eu besoin de faire de nombreux essais avant de s’adapter à la spécificité technique de l’art dentaire...
Il faut savoir par exemple que la surface blanche lisse et brillante d’une incisive, ou que l’image faiblement éclairée dans le miroir d’une vue palatine cumulent toutes les difficultés pour le fonctionnement des autofocus…

Transfert des images sur la station de travail :
À l’opposé de la photographie industrielle de studio en moyen et grand format pour des objets fixes, où l’image numérique est obtenue sur la station de travail après acquisition en plusieurs passes correspondant à chaque couleur primaire ; les boîtiers petits formats 24/36 adaptés aux sujets mobiles utilisent toujours la technologie oneshot où les trois couleurs primaires sont prises en même temps.
C’est au sein du boîtier que l’image « native » est obtenue par des algorithmes de définition des couleurs qui sont propres au boîtier.
La qualité de l’image finale dépend donc à la fois des qualités du capteur, mais aussi de la précision d’interprétation de ces algorithmes ou « bruit de fond ».
Ce fichier natif doit être décodé par le logiciel correspondant au boîtier dans un format standard JPEG ou TIFF afin de pouvoir être reconnu et exploité par n’importe quel ordinateur.
C’est au cours de cette première phase de transfert des images que peuvent être renseignés les premiers champs IPTC, souvent à l’aide de procédures par lots ou « scripts » d’exécution.
Ces champs IPTC sont le résultat d’un consensus industriel qui, depuis les années 1970, a permis d’encapsuler des métafichiers (informations sous forme de texte) au sein de l’image.
La norme DICOM de nos scanners médicaux utilise un système similaire pour enregistrer les paramètres techniques : type de machine, rayonnement, plan de coupe… ainsi que l’état civil du patient, son âge …
Nous avons donc la chance en médecine d’avoir à notre disposition, pour les photographies, quelle que soit la marque de nos appareils, une norme internationale largement diffusée qui a déjà fait ses preuves dans l’industrie, la presse et les agences photos.
Il suffit de faire l’effort de s’en servir…
Une vingtaine de champs sont à notre disposition pour définir l’état civil du patient, la date et le lieu de l’examen, le prescripteur, le type de document : photographie faciale, intraorale, mais aussi radiographies, moulages… et si le document est pris à titre initial, en cours ou en fin de traitement…
Enfin la norme prévoit aussi une liste de mots clés ainsi que deux champs de texte libre, où peuvent être indiqués diagnostic, traitement ou tout élément important du dossier médical.
Les « scripts » sont des routines d’exécution proposées par tous les logiciels d’imagerie pour coller directement et en une seule fois toutes ces informations dans tout le lot de photographies du patient.

Exploitation de la base de données :
La dernière étape de la chaîne numérique doit permettre d’archiver l’ensemble des photographies de tous les patients.
Les logiciels professionnels d’archivage ou leur version réduite grand public fonctionnent toujours de la même façon.
Chaque fichier image se décompose en une image pleine définition, les champs IPTC, quelques champs complémentaires personnalisables, une image de prévisualisation, une vignette de classement.
Il est pratique et facile de renommer les fichiers de chaque patient sous la forme NNNN nnn où N représente le numéro de dossier du patient et n le numéro d’image.
Avec cette configuration, on peut ainsi regrouper jusqu’à 10 000 patients ayant chacun jusqu’à 1 000 images. En effet, dès les premières centaines de photos, il est indispensable de standardiser les noms de fichiers.
Jusqu’à quelques milliers, un logiciel d’archivage peut effectuer une recherche assez rapidement sur une requête par nom de fichier.
À partir de 20 000 photos, il devient nécessaire d’utiliser un serveur d’indexation.
Il s’agit d’un moteur de recherche qui indexe non seulement le nom de fichier mais aussi tous les champs IPTC et métafichiers associés en vue d’accélérer les recherches et ce avec différentes possibilités de requêtes plus ou moins évoluées.
Ces moteurs sont adaptés pour gérer plusieurs millions de photographies.
Même si un simple praticien ne peut rivaliser en mesure avec un grand groupe de presse, sa démarche d’enregistrement des champs et de leur exploitation peut être, bien qu’à petite échelle, tout à fait similaire.
On comprend ainsi qu’il est aisé, après avoir documenté une première fois les photographies initiales d’un patient, de compléter son dossier avec les photographies des moulages, des radiographies, ou de tout autre examen.
Ceci constitue progressivement une véritable base de données en vue de l’évaluation objective de son propre travail, ou de futurs travaux de recherche.

Conclusion :
Depuis longtemps en France, en Europe, aux États-Unis, les grands noms de l’orthodontie ont toujours placé le bilan photographique comme une pièce maîtresse du dossier orthodontique.
En 50 ans, les écoles et les techniques ont bien évidemment considérablement évolué, mais il reste toujours autant d’actualité d’accorder la primauté à l’examen clinique et donc à son vecteur de communication obligé que constitue la photographie.
La technologie numérique actuelle permet de réaliser simplement et rapidement une iconographie complète et de grande qualité.
Cependant, toute avancée technologique a un coût d’investissement et de mise en oeuvre.
Alors que moulages et mesures cephalométriques sont inscrites à la nomenclature des actes, on est en droit de demander à la Sécurité sociale, dans son projet de réforme de la nomenclature, de reconnaître le bien-fondé de l’examen photographique.
Il paraît opportun d’en accorder le principe d’une rémunération et d’évaluer les possibilités de prise en charge par l’organe social.
Ceci contribuerait à lever les obstacles à la diffusion d’un examen fort utile, qui pour l’instant ne constitue pour le praticien qu’un surcoût de charges financières et de travail, avec pour seule gratification la reconnaissance de sa conscience professionnelle.


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Apparition des dents de lait chez les bébé

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 Les dents de lait apparaissent à partir de l’âge de 6 mois.

 Ordre d’apparition :

à 6 mois : les 2 premières incisives du bas
à 8-10 mois : 2 premières incisives du haut
à 10-12 mois : 2 secondes incisives du haut
à 10-14 mois : 2 secondes incisives du bas
à 12-18 mois : 2 premières molaires du bas
à 12-18 mois : 2 premières molaires du haut
12-24 mois : 2 canines du bas
12-24 mois : 2 canines du haut
A 1 an, l’enfant possède donc 8 dents.
20-30 mois : 2 secondes molaires du bas
20-30 mois : 2 secondes molaires du haut
A 3 ans : l'enfant a donc 20 dents de lait (8 incisives, 4 canines et 8 molaires) comme le montre le schéma à droite.


  schéma dent de lait
Dentition d'un enfant de 3 ans

Il est important de remarquer que chaque enfant évolue à son rythme. Il ne faut donc pas s'inquiéter si les dents n'apparaissent pas dans cet ordre ou qu'elles apparaissent en avance ou en retard. Toutefois, en cas d'inquiétude, il est toujours recommandé de consulter un dentiste.
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Les bons gestes pour de bonnes dents

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Enfants : de bons gestes pour de bonnes dents


Ayant de bonnes dents n'est pas sorcier et cela commence par l'éducation des tout-petits! Apprenez comment leurs actions brossage? Quels sont les dentiste ne pas manquer? Tout ce que vous devez savoir pour garder vos enfants en souriant. 
Mieux vaut éduquer que guérir 

Pas de mystère, d'avoir de bonnes dents, il doit être maintenu et zap la boîte jamais nettoyé la route. C'est une longue éducation qui commence dès le plus jeune âge, car il ne suffit pas de se brosser les dents. En fait, prendre les bonnes décisions, mis sa brosse à dents correctement, pensez à utiliser la brosse ou le fil en cas de besoin, tout ce qui ne peut pas être inventé. 

La première étape pour atteindre l'étape est d'apprendre à se brosser les dents. Incliner la brosse à 45 ° C, faire des mouvements circulaires et des mouvements plus avant en arrière sur le brossage des dents classique et finir par le passage de brossettes interdentaires. 

Deuxième geste de sauver des vies: Choisissez une brosse à dents en fonction de l'âge de l'enfant et n'hésitez pas à le changer fréquemment! 

Enfin pensez à utiliser un dentifrice avec fluorure de la dose correcte adaptés à l'âge de l'enfant et, éventuellement, si cela s'avère nécessaire d'utiliser des suppléments de fluor. 

Consultations gratuites de prévention 

Le ministre de la Santé a mis en place des examens de prévention bucco-dentaire obligatoire et gratuit pour les enfants entre 6 et 12 ans. Cette mesure est également inclus dans le programme de financement de la sécurité sociale. Plus précisément, les dents M'T programme développé par l'assurance maladie et les chirurgiens-dentistes comprend tout un nouveau programme de prévention. 

Spécialement conçu pour répondre aux âges les plus à risque de carie, il offre la possibilité aux enfants de faire plusieurs contrôles dentaires entre 6 et 18 ans et tous les soins seront liés. Et le remboursement de 100% est incluse. En tout cas, vous recevrez à la maison peu avant l'anniversaire de l'enfant tous les papiers que vous invitant à cette consultation et ceux requis pour le remboursement.

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Arthrite dentaire causes conséquence et traitement

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définition
Il est l'inflammation du ligament qui maintient la racine de la dent dans sa loge (cellulaire). Signes: douleur dentaire
 évolution pendant plusieurs jours par des crises aiguës, semblent avoir les dents trop nombreuses, la mauvaise haleine, dents mobiles
Qu'est-ce qui se passe: 

L'arthrite est une inflammation aiguë ou chronique générale de toute articulation.
Il est soit causée par une infection ou sans causes décelables.
Elle se reflète dans sa forme évoluée d'une déformation articulaire et la douleur incompatibles.
Dans ce cas particulier de l'arthrite, l'inflammation dentaire affecte principalement le ligament. Ce n'est pas une arthrite au sens étymologique du mot.
Causes 
Habituellement au nombre de deux:
Inflammation de la pulpe (cavité centrale de la dent contenant des vaisseaux sanguins et des nerfs).
Ou lésion ligamentaire (RSI choc ou d'une prothèse défectueuse ou mal réglée).
Conséquences: 
Les terminaisons nerveuses souffrent ligament, enflammée, congestive inextensible devenir dans un milieu comme comprimé entre la racine et la prise. Il en résulte:
Porter et d'exploitation destruction progressive dans une situation douloureuse.
Mobilité de la dent.
L'arthrite dentaire survenir à tout âge.
Signes

douleur dentaire pendant plusieurs jours avec l'évolution des phases paroxystiques si aiguë.
Parfois, semble avoir les dents trop longues en raison d'un sentiment de contact avec les dents en avant.
La mauvaise haleine.
Vous vous sentez à long terme se sentir vos dents le déplacement et pourrait quitter son vestiaire.
L'entreprise:

Le dentiste immédiatement le diagnostic:
Sur le tableau clinique.
Le concept de choc.
Avant de porter une prothèse.
Il permet de contrôler une radio à la recherche:
Une lésion classique dentaires (caries).
L'inflammation de la muqueuse de la prise.
Traitement: 

Repose:
Sur celui de la cause et la prescription d'analgésiques et les médicaments anti-inflammatoires pendant 5 jours.
Il n'ya aucune raison, sauf pour extraire la dent si elle est endommagée.

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Quels sont les différents types de lasers dentaires ?

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 Le mot LASER signifie« Light Amplification by Stimulated Emission of Radiations » Ou « Amplification de Lumière par Emission Stimulée de Radiations ».

Le laser dentaire est aujourd’hui incontournable dans l’univers médical. Il permet de réaliser tous les actes de la dentisterie, depuis le traitement d’une carie jusqu’à l’acte chirurgical le plus sophistiqué.

Il offre un véritable confort car il fait disparaître bistouri, fraises ("roulette") et bruits de la bouche, c'est-à-dire l'inconfort de tous les traitements classiques. Enfin, l'utilisation du laser denttaire évite également les saignements, les œdèmes et les douleurs.

Le laser offre un traitement de très grande précision et de qualité. Le rayon ne pénètre pas dans les tissus, et son effet antibactérien garantit une asepsie complète.

Il existe plusieurs types de laser dentaire:

1. Lasers "Erbium" (lasers "tissus durs et tissus mous")  :
Embout de traitement contact tip courbe

Embout de traitement
"contact tip" courbe
Les lasers dentaires Erbium sont apparus à la fin des années 1990.

Laser ErbiumCe sont les lasers dentaires les plus aboutis et les plus polyvalents. Ils permettent de réaliser rapidement de nombreux traitements, aussi bien sur les tissus durs que sur les tissus mous de la cavité buccale. Ce sont les lasers idéaux pour une ablation efficace, précise et peu invasive des tissus dentaires.

Le faisceau lumineux de ces lasers est fortement absorbé par l'eau contenue dans les tissus. Ces lasers dentaires produisent peu de chaleur. En outre, un spray d'eau intégré au laser refroidit les tissus ciblés. Ainsi, aucun échauffement n'est virtuellement transmis, ce qui réduit la douleur et permet une cicatrisation rapide.

La lumière émise par le laser est transportée jusqu'aux tissus soit par l'intermédiaire d'une fibre optique, soit par l'intermédiaire d'un bras articulé. Les lasers Erbium les plus modernes sont fibrés et utilisent de petits embouts de traitement amovibles ("contact tips") permettant un meilleur accès opératoire et une parfaite visibilité en bouche. Les lasers Erbium avec bras articulé sont généralement moins pratiques d'utilisation.



                                                         
          
2. Lasers thermiques (lasers "tissus mous")     
Ce type de lasers transforme l'énergie en chaleur pour obtenir un effet sur les tissus. Aucun de ces lasers ne possède de système de refroidissement des tissus, ce qui rend leur utilisation douloureuse.


Exemple de laser diode
transportable
Laser diode

  • - Diodes 

Les lasers diodes sont les lasers dentaires thermiques les plus récents. Il s'agit de semi-conducteurs qui convertissent l'énergie électrique en énergie lumineuse. Les diodes sont généralement de petits lasers, transportables et économiques. Elles constituent un bon point d'entrée pour la dentisterie au laser


  • - Lasers Nd:YAG et lasers Nd:YAP (communément appelés lasers "YAG" et lasers "YAP") 


Ces anciens lasers dentaires ne sont pas toujours bien appropriés pour la dentisterie. Les lasers Nd:YAG sont d'ailleurs bien plus utilisés en dermatologie qu'en dentisterie.

Les lasers YAP et YAG chauffent et pénètrent profondément les tissus. L'utilisation de ces lasers, lorsqu'elle est mal maîtrisée, peut entraîner des risques de lésions profondes, notamment de nécroses ou d'inflammation du nerf dentaire (dévitalisation de la dent).

Pour ces raisons, ces lasers (en particulier, le laser YAP) n'ont pas toujours donné une bonne image de la dentisterie laser aux chirurgiens-dentistes.

Ces lasers sont essentiellement utilisés pour le traitement de la gencive et des canaux des racines dentaires.


  • - lasers CO2 


Issus de l'industrie, les lasers CO2 ont été les premiers lasers dentaires commercialisés dans les années 1980. Ce sont des lasers à gaz peu précis, car il ne doit pas y avoir de contact avec les tissus. Ils sont principalement utilisés pour la chirurgie des tissus mous; ils permettent de couper rapidement sans saignement. L'utilisation de ces lasers demande une grande dextérité pour éviter les carbonisations des tissus.
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La parodontie infantile

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 La structure du parodonte de l'enfant ressemble beaucoup à celui des adultes. Le parodonte est une fonctionnelle et évolutive comprend les tissus de soutien de la dent. Cependant, le développement des dents et des problèmes particuliers aux enfants et à étudier les problèmes gingivaux et parodontaux chez les enfants en particulier pendant cette période.

1- Les différences entre parodonte des enfants et des adultes: 
En dentition primaire:
Gencive: rose pâle, ferme, il peut être kératinisée kératinisées ou para (pour les enfants entre 5-13ans, il est par kératinisées à 35%). il peut être lisse ou texturé (mais pas pathologique). La gencive interdentaire est VL sens large et étroit dans le rapport de la direction. Il se compose d'un col entre la papille vestibulaire et linguale, la profondeur du sillon gingival - dentaire = 2mm.
Les différences entre les gencives de l'enfant et l'adulte:
- L'approvisionnement en sang est beaucoup plus élevé chez les enfants (rouge non pathologiques).
- Les faisceaux de fibres de collagène ne figurent pas dans les enfants, afin qu'ils soient bien différenciés chez l'adulte.
- La douceur ne peut être pathologique.
Le ligament parodontal: il est plus large que celui des dents permanentes
L'os alvéolaire: en denture temporaire et pendant les phénomènes d'éruption, la lamina dura est très marquée, les travées sont moins nombreux mais plus épais et des espaces médullaires plus. Peaks septum interdentaire pour les enfants jusqu'à 13ans sont plates chez les adultes sont le fer de lance.
2 - Les changements physiologiques associés à l'éruption gingival des dents: 
Pendant la période transitoire de développement de la dentition des changements se produisent dans les gencives en combinaison avec l'éruption des dents permanentes. Certes, ces sont transformation physiologique et différenciés avec la gencive.
un pré-éruptive de gonflement:
Avant le début de la gencive canine gonflement présente une forte éruption avant est plus pâle et le contour de la dent sous-jacente.
Formation des b-gingivale:
La gencive marginale et le sillon se développer en tant que la couronne passe à travers la muqueuse buccale. Cette jante est gomme rouge (légèrement plus rouge) et épais (œdème).
c-L'importance de la marge gingivale:
Il est normal que la gencive marginale située autour de la dent permanente est très importante et a été localisé à la région antérieure de la mâchoire.
3 - La maladie parodontale chez les enfants: 
Le A-gingivale:
La gingivite chronique marginale:
Il est la réponse, il a les mêmes signes cliniques que chez les adultes, en général, l'étiologie est la plaque bactérienne par une mauvaise hygiène.
infections gingivales aiguë: avec
Gingivostomatite - stomatite herpétique aiguë: aussi répondu à l'enfant. Il s'agit d'une infection aiguë gingival suite à une infection des voies respiratoires supérieures (organisme responsable est l'herpès simplex).
Candidose (muguet) est une candidose buccale causée par le Candida albicans.
Ulcéreuse gingivite - nécrotique aiguë: ce qui est rare dans l'enfance. Très souvent confondu avec gingivo - stomatite herpétique, la seule différence est le revêtement gris.
maladies parodontales-B: ces maladies sont rares.
parodontite pré-pubères:
Il peut être localisée ou généralisée des formes, ne peut atteindre les dents temporaires et permanentes.
La parodontite aiguë juvénile:
Localisée ou généralisée peut atteindre à l'enfant de 7 ans, mais ils se déplaçait très lentement. Il ya une destruction bilatérale et symétrique des incisives et 6, le diagnostic intervient beaucoup plus tard (adolescents ou adultes jeunes).
4 - traitement: 

  • éducation à la santé et la motivation pour l'hygiène et le brossage des dents dès que possible par la méthode de Fones circulaire. 
  • Les traitements au fluorure (fluorure de Hima). Ou des gels de fluorure ou vernis fluoré. 
  • Élimination des causes prédisposantes (soins, l'inadaptation, la carie, conformément au paragraphe ..). 
  • traitement ATB de l'inflammation.
  • Traitement chirurgical en cas de nécessite
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La mobilité dentaire classification et traitement

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  •  La mobilité dentaire est un signe clinique est souvent un motif de consultation du patient. 


1- La mobilité dentaire: 


  • la mobilité physiologique: 


Les dents ont une certaine gamme de mouvement physiologique est assurée par l'équilibre entre les phénomènes physiologiques ligament apposition résorption.

La mobilité des monoradiculées est plus important que la mobilité radiculée multi. Il est dans le sens horizontal (principalement) mais aussi dans le sens axial. Elle a lieu pendant le fonctionnement du mouvement.


  • la mobilité pathologique: 


C'est la rupture de l'équilibre entre la résorption ainsi apposition rupture du ligament paquet et le paquet vasculaire - nerveux.

2 - Classification: Lindh et MUHELLMANN. 


  • La classification des Lindh 


Niveau 1: la mobilité de la couronne dentaire 0.2-1mm dans le plan horizontal (physiologique).

Niveau 2: la mobilité de la couronne dentaire de 1mm dans le plan horizontal.

Niveau 3: la mobilité de la couronne dentaire supérieure à 1 mm en horizontal et vertical.


  • classification MUHELLMANN: 


Mobilité -0 -: une solution saline.

Mobilité -1 -: la mobilité de moins de 1mm perceptible par les doigts.

Mobilité -2 -: la mobilité de 1mm perceptible dans les doigts et visibles à l'œil.

Mobilité -3 -: la mobilité de 1mm visible à l'œil, visible et mobile dans les deux sens.

3- Etiologie: 

Destruction ou la modification de la FDA peur pathologique être due à:

1 - Perte de l'os alvéolaire et ligament parodontal.

1 - le traumatisme occlusal.

2 - Extension de l'inflammation de la gencive au desmodonte, exsudation inflammatoire diminue le soutien des dents où la dégénérescence des fibres parodontales principal ligament ainsi l'inflammation contribue à la mobilité des dents.

3 - L'extension de l'inflammation d'un abcès apical péri peut augmenter temporairement de la mobilité dentaire en l'absence de parodontopaties.

4 - La mobilité dentaire est également augmenté au cours de la grossesse.

5 - La mobilité dentaire est également accrue par l'utilisation de contraceptifs oraux.

6 - / / / / / / / / / / le cycle menstruel.

7 - Après le traitement orthodontique.

4-traitement: 

Comme la mobilité de la dent est douloureuse, elle nécessite un traitement. Il existe deux techniques:

- Contention avec des ligatures instant.

- Le sélectif (surcoût en surface avec le papier bleu) de broyage.

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Le biofilm ou la plaque bactérienne

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 C'est une communauté très organisée microbienne associée à une surface, dans le cas de la plaque dentaire.
Avantage de la vie communautaire:
- Augmentation de la diversité et l'efficacité métabolique.
-Supprime la protection supplémentaire contre, les conditions écologiques et anti-microbiennes.
- Augmentation de la pathogénicité (transfert de gènes).
plaque_bacterienneFormation:
Le biofilm est formé par l'adhérence des bactéries planctoniques (bactéries sous forme libre) sur l'interaction intercellulaire.
La formation de microcolonies dans une structure en trois dimensions.
La production de exopolymères qui assurent la stabilité de cette architecture, et la cohésion de microcolaires.
Structure: 
Il à 1 / 3 des bactéries et des 2 / 3 de la matrice.
Le rôle de la matrice:
- La possibilité de l'adhésion du biofilm dépend de sa structure et sa composition chimique.
- Elle change la nature de la surface colonisée hydrophobes ou hydrophiles.
- Il permet la protection des micro-organismes contre le dessèchement, et contre divers agents agressifs.
- La matrice agit également comme un tampon et peut enzymes piège aussi.
- Il peut capturer spécifiques des nutriments essentiels et de créer un environnement local, et promouvoir l'installation de certaines espèces.
Interaction:
Probablement le trait le plus caractéristique de biofilms est le multi-espèces par rapport à l'ancien concept statique de la plaque dentaire.
La répartition des espèces n'est pas due au hasard mais il est représentatif des besoins métaboliques de chacun.
La coexistence de différentes espèces est possible.
Exemple d'interaction au sein du biofilm sous-gingival nutritionnel:
- Les streptocoques et les Actinomyces besoin de CO2 qui leur sont fournis par le nucleatum fusobacterum.
Ces bactéries à leur tour produire des succinate, H2O2, formate et lactate, nécessaires à tréponèmes, au campylobacter, les Veillonella, ils permettent la croissance des bactéries dans la pigmentation noire dans leur vitamine K et de favoriser la proto-hème.
Il s'agit d'un véritable écosystème qui régule les populations microbiennes dans le biofilm.
Conclusion:
 un biofilm est un écosystème.- L'environnement de déterminer les populations bactériennes.
- L'environnement détermine également le comportement des populations bactériennes.
- L'environnement est variable au sein d'un biofilm.
- Les populations bactériennes affectent leur environnement.
- Membre d'un biofilm, le comportement de phase planctonique est isolé.
- En s'organisant en biofilm, les bactéries se protéger, chacun et échangent des informations, ils réagissent plus comme des organismes multicellulaires.
- Un biofilm biofilm bon n'est pas nécessairement un décès.
- Les maladies parodontales sont le résultat d'interactions entre le biofilm sous-gingival et inné et acquis défense de l'hôte.
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Les soins après une chirurgie buccale mineure

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 Parfois, après une chirurgie buccale mineure, vous pouvez avoir mal, saigner ou enfler. Cette section vous suggère des façons de remédier à ces problèmes. Votre dentiste ou le chirurgien buccal auquel il vous a référé pour votre chirurgie vous conseillera également à cet égard.
Un chirurgien buccal est un dentiste qui a suivi au moins 4 années de formation universitaire de plus. Si vous avez des questions au sujet du traitement ou des soins après votre chirurgie, communiquez avec votre dentiste ou chirurgien buccal.
Important
Si un des symptômes suivants se manifeste après la chirurgie, appelez votre dentiste ou chirurgien buccal tout de suite :

  • vous saignez beaucoup, et cela fait au moins 4 heures que l'opération est terminé.
  • vous avez mal au coeur (nausées)
  • vous vomissez
  • vous avez de la fièvre
  • la douleur ne diminue pas, et cela fait un jour (ou plus) que l'opération a eu lieu
  • vous continuez d'enfler et cela fait deux jours (ou plus) que l'opération a eu lieu
Votre dentiste ou chirurgien buccal vous dira ce qu'il faut faire.

1)Calmer la douleur
Votre dentiste ou chirurgien buccal vous engourdira, avec un anesthésique local, la région de la bouche où se fera l'opération.
La durée de l'engourdissement que vous ressentirez dépendra du type d'anesthésique utilisé et de la quantité du produit injecté. Prenez garde de ne pas vous mordre la joue, les lèvres ou la langue pendant que votre bouche est engourdie. Après quelques heures, cet engourdissement devrait disparaître.
Si le type d'anesthésie utilisé vous endort (anesthésie générale), votre dentiste ou chirurgien buccal vous donnera d'autres directives à suivre avant et après la chirurgie.
Il faut s'attendre à ressentir une certaine douleur après l'engourdissement. La période de douleur la plus intense devrait durer de 24 à 48 heures. Mais le malaise au site de l'opération peut persister pendant 3 à 5 jours. Ce malaise sera plus ou moins prononcé selon la nature de l'opération, votre état de santé en général et votre niveau d'activité physique.
Plus vous bougez, plus vous risquez de ressentir de la douleur. Le mieux est de vous reposer. Votre dentiste ou chirurgien buccal peut vous prescrire un antibiotique pour prévenir l'infection ou un analgésique pour calmer la douleur.
Quoi faire
  • Avisez votre dentiste ou chirurgien buccal de tout autre médicament que vous prenez.
  • Suivez ses conseils et ceux de votre pharmacien si vous prenez des médicaments.
  • Appelez-le si la douleur ne diminue pas après 24 heures.
Quoi ne pas faire
  • Ne dépassez pas la dose de médicament prescrite.
  • Ne consommez pas d'alcool avec un médicament contre la douleur.
  • Ne conduisez pas ou ne manoeuvrez pas de machinerie si vous prenez des narcotiques pour calmer la douleur. Votre dentiste, chirurgien buccal ou pharmacien vous dira si le médicament que vous prenez est un narcotique.
2)Arrêter le saignement
Votre dentiste ou chirurgien buccal placera une compresse de gaze stérile à l'endroit opéré pour réduire le saignement et retenir le sang pendant la coagulation. Il faut garder la compresse en place pendant une heure après avoir quitté le cabinet. Maintenez-y une bonne pression et, surtout, ne la mâchez pas.
Il faut s'attendre à ce que la plaie saigne 1 heure ou 2 après l'opération et continue à suinter jusqu'à 24 heures. Ne vous inquiétez pas si vous avez l'impression de saigner beaucoup. C'est le mélange de sang et de salive qui vous donne cette impression. Si vous n'arrivez pas à contrôler le saignement après 4 heures en pressant fermement sur la compresse de gaze, appelez votre dentiste ou chirurgien buccal.
Quoi faire
  • Gardez une pression ferme et constante en plaçant une compresse de gaze stérile au site de l'opération et en serrant fermement les dents. Laissez la compresse en place pendant une heure, même si elle est pleine de sang.
  • Remplacez la compresse si le saignement continue.
  • Maintenez la pression pendant une autre heure.
  • Reposez-vous et gardez votre tête élevée. Le fait de se reposer ralentit la circulation du sang, réduit le saignement et accélère la guérison.
  • Brossez-vous les dents et utilisez la soie dentaire comme à l'ordinaire, mais en prenant peu d'eau et en évitant tout contact avec la plaie.
  • Téléphonez à votre dentiste ou chirurgien dentiste si vous saignez encore beaucoup 4 heures après l'opération.
  • Attendez au moins 24 heures après l'opération avant de vous rincer la bouche avec de l'eau tiède. Votre dentiste ou chirurgien buccal vous recommandera peut-être d'ajouter une demi-cuillerée à thé de sel dans une tasse d'eau tiède à chaque rinçage. Rincez-vous 4 ou 5 fois par jour, pendant 3 ou 4 jours.
Quoi ne pas faire
  • Ne vous rincez pas la bouche pendant 24 heures, même si le saignement et le sang imbibé laissent un mauvais goût dans votre bouche.
  • Ne mâchez pas la compresse de gaze ni n'exercez de succion sur la plaie.
  • Ne vous adonnez à aucune grande activité physique pendant au moins 48 heures après l'opération.
  • Ne conduisez pas ni ne manoeuvrez de machinerie si vous prenez des narcotiques pour calmer la douleur.
  • Évitez les liquides chauds comme le café et le thé. Laissez refroidir votre soupe avant de la manger. Les liquides chauds activent la circulation du sang, et le saignement peut recommencer.
  • Évitez de consommer de l'alcool et de fumer pendant les deux premières semaines suivant l'opération. L'alcool et le tabac nuisent à la coagulation, augmentent le risque d'infection et ralentissent la guérison.
3)Réduire l'enflure ou le gonflement
Votre figure peut enfler pendant les premières 24 heures suivant l'opération et le rester pendant 5 à 7 jours. Quand l'enflure diminue, il se peut que vous ayez une ecchymose (ou bleu) qui peut durer jusqu'à 10 jours.
Quoi faire
  • Appliquez une compresse froide sur la région enflée ou gonflée les premières 24 heures suivant (cubes de glace dans une serviette ou sac de légumes surgelés, par exemple, des petits pois).
  • Gardez la compresse 10 minutes. Retirez-la 10 minutes et recommencez.
  • Répétez le processus si possible pendant 24 heures après l'opération.
  • Le deuxième jour après l'opération, appliquez un peu de chaleur sur l'enflure ou le gonflement (bouteille d'eau chaude ou coussin chauffant enveloppés d'une serviette). Cela activera la circulation du sang et réduira l'enflure. Prenez garde de ne pas vous brûler.
  • Téléphonez au dentiste ou chirurgien buccal si l'enflure augmente après 48 heures ou si elle persiste après 7 jours.
Quoi ne pas faire
  • N'appliquez pas de chaleur avant 24 heures après l'opération, car elle ne ferait qu'aggraver l'enflure.
4)Soulager la mâchoire
Il se peut que votre mâchoire soit douloureuse, raide ou ankylosée après l'opération et que vous ayez du mal à ouvrir la bouche pendant 7 à 10 jours. Ceci est dû au fait d'avoir gardé la bouche ouverte pendant l'opération.
Quoi faire
  • Massez légèrement les muscles de la mâchoire (s'ils ne sont pas trop sensibles).
  • Mangez des aliments faciles à mâcher comme les oeufs, les pâtes et les bananes. Buvez des laits frappés, du lait et des jus de fruit.
  • Appelez votre dentiste ou chirurgien buccal si, après 7 ou 10 jours, les muscles de la mâchoire sont encore douloureux ou si vous avez encore du mal à ouvrir la bouche.
Quoi ne pas faire
  • Ne forcez pas pour ouvrir la bouche
  • Ne mâchez pas de gomme ni ne mangez d'aliments durs ou difficiles à mâcher.
  • Ne buvez pas de boissons chaudes (café, thé, etc.).
source:cda-adc.ca
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